• La Russie va renforcer sa flotte militaire cette année avec 26 nouveaux navires, dont quatre bâtiments équipés de missiles de croisière Kalibr, a annoncé dimanche le président russe Vladimir Poutine.

    Au total en 2018, la marine va obtenir 26 nouveaux navires de guerre et bateaux à moteur, dont quatre équipés de missiles Kalibr", a déclaré M. Poutine, cité par l'agence Interfax, lors d'un déplacement à l'occasion du Jour de la marine à Saint-Pétersbourg, dans le nord-ouest de la Russie.

    M. Poutine a souligné que la flotte russe avait déjà reçu cette année quatre navires de surface, un bateau anti-sabotage et trois navires ravitailleurs.

    Les missiles Kalibr, d'une portée estimée de 1.900 km, équivalent des Tomahawk américains et capables de déjouer les défenses à très basse altitude, ont été à plusieurs reprises utilisés ces dernières années par les forces russes pour frapper des cibles en Syrie depuis des navires situés en Méditerranée.

    Le commandant de la flotte russe de la mer Noire, basée à Sébastopol en Crimée, le vice-amiral Alexandre Moisseïev, a indiqué que ses forces allaient être renforcées de six nouveaux navires d'ici la fin de l'année, selon Interfax.

    Vladimir Poutine a assisté dimanche matin à une grande parade de navires militaires sur les eaux de la Neva à Saint-Pétersbourg, à laquelle ont pris part 39 bâtiments.

    "Nous allons continuer à prendre des mesures afin de renforcer et développer notre marine et améliorer son équipement", a-t-il déclaré.




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  • L'animatrice de TF1 a de nouveau évoqué son départ de M6 lors d'une interview pour "TV Mag". Et Valérie Damidot n'a pas été tendre avec son ancien employeur au moment d'expliquer pourquoi elle a souhaité quitter la chaîne.

    À partir d'avril 2006, Valérie Damidot est aux commandes de son émission culte D&Co. L'aventure dure jusqu'en septembre 2015 et permet à la blonde de 53 ans de s'imposer dans le PAF. Cela lui permet d'obtenir en 2014 le talk show Y a que les imbéciles qui ne changent pas d'avis !, une émission qui ne dure qu'un petit mois, faute d'audience. Et surprise, en mai 2015, elle annonce son départ de M6 pour NRJ12.

    Un choix sur lequel elle s'est de nouveau exprimée auprès de nos confrères de TV Mag. Et Valérie Damidot n'a pas épargné son ancien employeur : "Je n'ai pas quitté M6 parce que je me lassais de la déco mais parce que la chaîne transformait des prime time de deux heures en six semaines d'émissions quotidiennes. Ce qui était ridicule. Et je voulais continuer ma série Victoire Bonnot alors que la chaîne n'était pas chaude. On ne s'est pas entendues, je suis partie."

    Après avoir passé une saison sur la chaîne de la TNT, où elle a notamment animé Le Labo de Damidot, l'animatrice a rejoint TF1 où elle s'épanouit depuis. À partir du 30 juillet, elle sera d'ailleurs aux commandes de l'émission quotidienne Les plus belles vacances. "On va proposer à des binômes de tester trois lieux de vacances en Occitanie et en Provence-Alpes-Côte-d'Azur. En fonction de leurs envies , de leur budget et de ce qu'ils vont trouver sur place, ils devront noter l'hébergement et les loisirs", a confié la maman fière que les téléspectateurs retrouveront aussi dans Les As de la déco au mois d'août.

    L'intégralité de l'interview de Valérie Damidot est à retrouver dans le magazine TV Mag du 27 juillet 2018.

     


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  • L'ancien collaborateur d'Emmanuel Macron continue de se défendre dans les médias, alors qu'il est mis en examen notamment pour « violences en réunion ». Il a donné une interview au Journal du Dimanche, dans laquelle il accuse la hiérarchie de la police de vouloir l'écarter de son poste.

    Après les pages du Monde et le plateau du JT de TF1Alexandre Benalla fait la une du JDD. Il affirme avoir « plutôt envie » d'aller donner des « explications » aux commissions d'enquête parlementaires, dans des déclarations au Journal du Dimanche, où il récuse, entre autres, toute intervention au Jardin des Plantes le 1er mai, avant la place de la Contrescarpe.

    Alors que plusieurs députés d'opposition avaient critiqué son passage sur TF1, tandis que la commission d'enquête parlementaire ne l'a pas inscrit à son programme d'auditions, Alexandre Benalla n'exclut pas cette possibilité, dont il compte discuter avec son avocat, selon l'hebdomadaire.

    « Je dois me reposer, réfléchir. Mais oui, j'ai plutôt envie d'y aller. Ils veulent des explications, j'ai de quoi leur en donner », affirme-t-il.

    Si les auditions sont finies à l'Assemblée, où LREM estime avoir « procédé à toutes les auditions utiles...






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  • L'ancien candidat à la présidentielle Benoît Hamon a vertement critiqué le président de la République et sa réaction à l'affaire Benalla. Il a pointé « la dérive d'un système politique qui repose tout entier sur la volonté d'un seul homme » dans une tribune publiée dimanche 29 juillet dans le Parisien.

    Benoît Hamon, fondateur de Générations, appelle à une « Ve République dans laquelle le chef de l'État ne serait plus irresponsable », dans une tribune au Parisien dimanche, reprochant à Emmanuel Macron d'agir en « enfant » mais pas en président dans l'affaire Benalla.

     

    L’ancien candidat à la présidentielle Benoît Hamon a vertement critiqué le président de la République et sa réaction à l’affaire Benalla. Il a pointé « la dérive d’un système politique qui repose tout entier sur la volonté d’un seul homme » dans une tribune publiée dimanche 29 juillet dans le Parisien.

    Benoît Hamon, fondateur de Générations, appelle à une « Ve République dans laquelle le chef de l’État ne serait plus irresponsable », dans une tribune au Parisien dimanche, reprochant à Emmanuel Macron d’agir en « enfant » mais pas en président dans l’affaire Benalla.

    « La dérive individuelle d’Alexandre Benalla ne masquera jamais la dérive autrement plus préoccupante d’un système politique qui repose tout entier sur la volonté d’un seul homme, le président de la République, dont le sentiment d’impunité et de toute-puissance révèle l’incroyable archaïsme et la précarité de nos institutions », argumente l’ancien candidat socialiste à la présidentielle.

    Il fustige une formule d’Emmanuel Macron devant les parlementaires de la majorité et le gouvernement mardi, où le chef de l’État a lancé que « s’ils veulent un responsable, il est devant vous. Qu’ils viennent le chercher. Je réponds au peuple français ».

    « Emmanuel Macron menace en enfant »

    Or, souligne Benoît Hamon, « Emmanuel Macron le sait : la Constitution le protège, et il n’aura à répondre au peuple français qu’en 2022, s’il se représente »« Comme à son habitude, Emmanuel Macron menace en enfant, là où nous attendons qu’il agisse en chef d’État », cingle-t-il.

    « Aujourd’hui, nous exigeons bien plus que des réponses. L’urgence et notre devoir sont de répondre à la faiblesse de notre démocratie par une réforme radicale de nos institutions », selon le fondateur de Générations.

    Il « plaide donc pour l’émergence d’une VIe République dans laquelle le chef de l’État ne serait plus irresponsable, dans laquelle le Parlement retrouverait son indépendance, dans laquelle surtout, le citoyen ne serait plus infantilisé et réduit au rang d’électeur intermittent », exhortant à briser « le cercle de la défiance des élites à l’égard des citoyens ».


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  • Alexandre Benalla se désole une nouvelle fois d'être "le maillon faible" d'Emmanuel Macron, dans une interview au Journal du dimanche daté du 29 juillet. Mais l'ancien chargé de mission de l'Elysée ne s'est pas contenté de répéter les mêmes phrases que lors de ses précédentes interviews. L'homme de 26 ans estime qu'il a été la cible de hauts gradés.

    Dans la haute hiérarchie policière, il y a des gens qui gèrent leurs intérêts, leur carrière, et que j'ai dérangées.

    Alexandre Benalla

    au "Journal du dimanche"

     

    "Par ma faute, je leur ai donné une occasion ; ils ont sauté dessus pour m'écarter", poursuit Alexandre Benalla. Selon lui, son parcours a fait grincer des dents et estime s'être "souvent fait détester par ceux qui pensent que les responsabilités dépendent surtout des diplômes".

    Titulaire d'un Master 1 en droit, "spécialité : sécurité publique", Alexandre Benalla déclare : "Certains m'ont jugé illégitime à cause de mon parcours. Dans le monde du pouvoir, on aime les gens bien formatés et qui la ferment. Moi, j'ai toujours eu tendance à l'ouvrir. On me l'a fait payer."

     


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