• Un violent incendie a ravagé cette nuit de mercredi à jeudi une habitation à Goupillières, dans l'Eure. Deux couples et deux jeunes enfants, venus y passer le week-end de l'ascension, ont pu évacuer à temps la demeure située rue Saint-Jean dans le hameau de Bouquelon. Aucun n'a été blessé. 

    Vers minuit, l'attention des locataires qui étaient arrivés dans la soirée a été attirée par une odeur de fumée et de brûlé, alors qu'ils se trouvaient à l'étage. Ils ont quitté immédiatement la maison et alerté les sapeurs-pompiers. 

    A l'arrivée des premiers secours, l'habitation était embrasée. Une cinquantaine de soldats du feu de sept centres de secours (1) ont été mobilisés au plus fort de l'intervention. 

    Selon les premières constatations, le feu s'est déclaré dans une pièce condamnée au rez-de-chaussée. 

    Les locataires ont été transportés à l'hôpital de Bernay pour un examen de contrôle. Ils seront logés dans un hôtel au Neubourg par la suite. 

    Le propriétaire domicilié en région parisienne s'est déplacé sur les lieux ainsi que le maire de Goupillières. A 4h30, au départ des gendarmes, il n'y avait plus aucun risque de propagation aux habitations voisines. 

    Une enquête a été ouverte par la communauté de brigades de Brionne. Elle devra déterminer les circonstances précises du sinistre mais l'origine accidentelle semble privilégiée, selon la gendarmerie. 


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  • COURTE CAVALE - Plusieurs malfaiteurs ont été arrêtés ce mercredi matin en France par la BRI de Lyon, quelques heures seulement après le braquage à l’explosif d’un fourgon blindé dérobé en Suisse.

    Ce sont les convoyeurs, de nationalité suisse, qui ont donné l’alerte, une fois libérés. Leur fourgon blindé a été retrouvé incendié à 3h40, dans la nuit de mardi à mercredi, sur la commune de Divonne-les-Bains, dans l’Ain, à deux pas de la frontière suisse. Ce fourgon venait de faire l’objet d’un braquage dans le canton de Vaud, en Suisse. 

     

    Selon les premiers éléments, une équipe de malfaiteurs a intercepté le véhicule alors qu’il roulait sur l’autoroute A1, en Suisse. Après avoir séquestré les deux convoyeurs, les malfrats ont ensuite emmené le fourgon en France, où ils ont ouvert les portes à l’explosif. Après s'être emparé du butin -estimé à une dizaine de millions d'euros-, ils ont mis le feu au fourgon,  avant de prendre la fuite à bord de deux véhicules. 

     

    Les gendarmes, qui ont découvert le fourgon incendié, ont rapidement été dessaisis au profit de la PJ de Lyon. Et on a appris, en début de matinée, que les auteurs présumés de ce braquage avaient été interpellés à l’aube par les policiers de la BRI de Lyon. 


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  • Les sapeurs-pompiers de Paris sont intervenus dans la nuit de mardi à mercredi pour éteindre un incendie déclaré dans un immeuble du XIIème arrondissement. Parmi les sinistrés, un nourrisson descendu à l'échelle par l'un d'entre eux.

    C’est une opération de sauvetage périlleuse réussie pour les sapeurs-pompiers de Paris. Dans la nuit de mardi à mercredi, les soldats du feu sont appelés pour un incendie qui s’est déclaré au troisième étage d’un immeuble du XIIème arrondissement de la capitale. Parmi la dizaine de victimes du sinistre, cinq sont sauvées d'urgence. Trois d'entre elles sont descendues par l'échelle et parmi elles, un nourrisson qui sera enveloppé sous la veste d’un pompier. Une scène héroïque filmée par les pompiers eux-mêmes. Au total, une centaine de pompiers ont été mobilisés pour maîtriser le feu au bout de deux heures intervention. Le bilan fait état de dix urgences relatives, dont un pompier


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  •  Cinq mois après une première plainte contre un enseignant de l’université Rennes 2, une seconde étudiante s’est rendue au commissariat pour les mêmes raisons et contre le même professeur. Ce dernier a une nouvelle fois été mis en examen pour viol par personne ayant autorité.

    Son professeur aurait abusé d’elle pendant près d’un an et demi. Une étudiante de l’université Rennes 2 a déposé une plainte pour viol contre un enseignant de 48 ans, déjà mis en examen pour des faits similaires en janvier dernier. Il avait à l’époque été mis en cause par une de ses élèves de 24 ans, dont il était le directeur de thèse.

     

    L’homme a donc été placé en garde à vue une nouvelle fois pour être entendu par la police et a encore nié les accusations. Le juge a décidé de le mettre de nouveau en examen, pour viol par personne ayant autorité. Placé sous contrôle judiciaire, il lui est interdit d’enseigner et de paraître à l’université Rennes 2.


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  • Une jeune fille a été grièvement brûlée dans son collège, aspergée de liquide inflammable par une camarade. Les faits se sont produits au Collège Semnoz à Seynod en Haute-Savoie. Une cellule psychologique a été mise en place dans l'établissement

    Les faits se sont produits pendant la récréation vers 10 heures du matin. Une collégienne de 15 ans a été grièvement brûlée mercredi à Seynod (Haute-Savoie) par une camarade du même âge, qui l'avait aspergée dans la cour du collège avec un liquide inflammable.  "Un surveillant s'est jeté sur elle avec son t-shirt pour tenter d'éteindre les flammes. Des élèves se sont aussi mis sur la victime pour arrêter le feu. Ils ont finalement réussi à tout éteindre", raconte un témoin cité par Le Parisien. Elle La victime a été transportée au centre des grands brûlés de Lyon et placée en coma artificiel.   Ce jeud matin, elle se trouvait toujours dans un état critique. 

     

    L'auteure de l'agression a été "placée en garde à vue sous la qualification de tentative d'assassinat", a indiqué la procureure de la République d'Annecy, Véronique Denizot. Elle avait pris la fuite juste après les faits avant d'être interpellée et placée en garde à vue.  On ne connait pas encore avec précision l'origine de ce déchainement de violence. Les deux jeunes filles avaient, semble-t-il, un contentieux qui trainait depuis plusieurs semaines et pour lequel elles avaient été convoquées avec leur parent il y a un mois par le principal de l'établissement.

    Dans le collège, une cellule psychologique a été mise en place.  


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