•  

    **Le Site "CASACOURSES" a été crée pour réunir les amateurs des courses et des quintés...le site est là pour recevoir de la part de nos amis adhérents toutes les infos hippiques (extraits d'autres sites des courses + resume des journaux et magazine du turf + vidéo des interviews....etc)..Le site est crée pour aider nos amis à trouver les bons tuyaux des quintés et les diriger vers les bons jeux...Alors..si vous voulez partager vos infos sur les pages du site et avec nous...vous êtes les bienvenus...mais si vous optez pour le partage uniquement via whatsapp et bien c'est non...c'est non...et c'est NON…et A PARTIR DU 1ER JUIN ...TOUTES LES SAISIES QUI COMPORTERONT DES ADRESSES WHATSAPP SERONT SUPPRIMÉES ...voilà !!...LE SITE CASACOURSES EST POUR TOUT LE MONDE...ET POUR TOUS LES PASSIONNES DES COURSES....SALUT ET BONNE CHANCE A TOUS !!

    Soumis le : 27/05/2017-15:35

    27/05/2017 - 15:35

    votre commentaire
  • 28/05/2017 - Chantilly - Prix du Musée Vivant du Cheval 
    Plat - 1200m | Réunion 1 - Course n°3

    C'est la course de Victorious Champ

    Dimanche 28 mai, c’est le Prix du Musée Vivant du Cheval qui servira de support au Quinté+ (Top 5 sur genybet.com). Dix-huit chevaux de 4 à 9 ans seront aux prises sur les 1.200 mètres de la ligne droite de Chantilly. Restant sur deux premiers accessits dans ce genre d’épreuves, Victorious Champ (6) est un point d’appui assez solide. Le pensionnaire de David Smaga cherche sa course avec application à ce niveau de la compétition. Il va logiquement rallier de nombreux suffrages. Sa seizième tentative dans ce type de tournois pourrait être la bonne. En tout état de cause, il mériterait de trouver son jour dans les événements. Il ne tombera pas tout le temps sur un « os ».


    votre commentaire
  • Franceinfo - Il y a 23 min

     a été désignée à 46 ans présidente du conseil national de l'Eglise protestante unie de France (EPUdF), lors d'un synode à Lille (Nord).


    En savoir plus sur http://portail.free.fr/actualites/france/7034017_20170527_pour-la-premiere-fois-une-femme-prend-la-tete-de-la-principale-eglise-protestante-de-france.

    Cinq cents ans après la Réforme de Luther, elle est la première femme portée à la tête des luthériens et réformés français : Emmanuelle Seyboldt a été désignée à 46 ans présidente du conseil national de l'Eglise protestante unie de France (EPUdF), lors d'un synode à Lille.

    Jusqu'alors, seule l'Eglise réformée d'Alsace et de Lorraine avait été dirigée par une femme, Thérèse Klipffel (1920-2006), de 1982 à 1988. "Je n'étais pas candidate, j'ai été très surprise quand j'ai été appelée à cette fonction" de présidente, confie à l'AFP Emmanuelle Seyboldt, pasteur à Besançon depuis 2013 pour l'EPUdF, la principale Eglise protestante française, qui revendique 250 000 fidèles engagés dans ses rangs.

    "J'y vois une cohérence de notre Eglise : depuis 1965, elle accueille des femmes pasteurs. Que plus de 50 ans après des femmes soient appelées à ce type de responsabilités, c'est la logique".

    Emmanuelle Seyboldt

    AFP

     


    votre commentaire
  • Aux confins de la Haute-Marne et de la Côte-d'Or, le Parc national des forêts de Champagne et Bourgogne doit voir le jour d'ici 2019. Sur 241.000 hectares, dont 3.000 de réserve intégrale, pour protéger et mettre en valeur les "feuillus de plaine" et la biodiversité qu'ils abritent. DUREE 00:54


    votre commentaire
  • Modalités de licenciement, impasses et inefficacité de la politique de formation ainsi que l'indemnisation du chômage sont au coeur de la réforme économique du pays. Les chantiers de réforme ouverts depuis des décennies ont mobilisé les syndicats, les administrations et les politiques sans avoir jamais abouti. Ces réformes étaient la réponse à un chômage structurel persistant, frappant les jeunes, dont la durée ne cessait de s'allonger privant le pays d'une part de son potentiel de croissance.

    On ne compte plus les rapports qui retracent cette réalité ni les recommandations des organisations internationales sur les voies et moyens d'une réforme efficace et équitable du marché du travail. Le dernier à s'être saisi de ces problèmes fut François Hollande. C'est son échec qui motive aujourd'hui le train de réformes que veut lancer, par ordonnances, le président Macron.

    Les trois volets

    Le dispositif envisagé s'ordonne autour de trois volets.

     

    • Une réforme du marché du travail qui doit consacrer l'inversion de la hiérarchie des normes avec un primat donné à la négociation d'entreprise, le rétablissement du caractère obligatoire de l'application d'un barème des indemnités pour licenciement abusif aux Prudhommes et l'abandon des reculs de la Loi Rebsamen sur les seuils sociaux et l'unification de la représentation des salariés.

    • Le deuxième volet porte sur l'assurance chômage, son extension aux indépendants et aux démissionnaires, ses conditions de financement (par la CSG) ses modalités de gestion (sortie du paritarisme).

    • Enfin, le troisième volet portera sur une nouvelle réforme de la politique de formation qui coûte 32 milliards d'euros et dont l'inefficacité et les gaspillages nourrissent la littérature grise depuis fort longtemps. L'individualisation du droit à la formation et la création d'une offre régulée et certifiée de programmes de formation devant se substituer au régime actuel.

     

    Que peut-on apprendre de l'échec de Hollande, que peut-dire de la stratégie de Macron et de ses chances de succès? Dans les annales des 

    des réformes ratées, la loi El Khomri restera comme un modèle de ce qu’il ne faut pas faire. Elle a fini par résumer les errements de la présidence Hollande.

    Discussion éclatée

     

    Ce qui caractérise en effet ce quinquennat, c’est l’audace réformatrice en paroles (la flexisécurité à la française). Aucun des sujets ayant trait aux dysfonctionnements du marché du travail n’est négligé: adaptation négociée à la crise, seuils sociaux, formation, code du travail, indemnisation du chômage, réforme des prudhommes, du licenciement économique…

    Au départ, avec la Loi El Khomri, il s’agit de faire de la négociation dans l’entreprise des accords collectifs majoritaires la norme et des accords interprofessionnels l’exception dans les limites des principes de l’ordre public social. Ce principe sitôt posé va subir des aménagements majeurs. Pour tenir compte des objections du Parti socialiste, l’objet de l’accord d’entreprise est réduit à peau de chagrin avec l’abandon du CDI, des 35 heures et du Smic comme objets de débat et de compromis au sein de l’entreprise.




    votre commentaire


    Suivre le flux RSS des articles de cette rubrique
    Suivre le flux RSS des commentaires de cette rubrique