• Une Britannique, un Russe et un Français sont favoris pour remporter la célèbre Palme d'or, récompense ultime du 7e art qui sera remise dimanche soir à Cannes.


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  • Emmanuel Macron est descendu ce samedi sur la pelouse du Stade de France pour se faire présenter les deux équipes finalistes de la Coupe de France, Angers et le PSG, récoltant quelques brefs sifflets de la part des supporters parisiens.


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  • SANCTIONS - Jusqu'ici, seuls les véhicules ne possédant pas de certificats qualité de l'air et non autorisés à rouler étaient verbalisables. A partir du 1er juillet, le simple fait de ne pas avoir cette vignette, même si la voiture est peu polluante, sera passible d'amende. Les explications de Maître Jean-Baptiste le Dall, avocat spécialiste du droit automobile.

    Avant l’arrivée d’une nouvelle équipe gouvernementale, ont été signés parfois dans l’empressement quelques décrets, parmi eux un texte renforçant les sanctions pour non-respect de l'usage des certificats qualité de l'air publié au Journal officiel le jour second tour de l'élection présidentielle. 

    Une vignette jusqu’à présent facultative

    Le dispositif de zones à circulation restreinte tel qu’il a été mis en place ces derniers mois comportait quelques lacunes. Et s’il a été massivement fait la promotion des désormais célèbres vignettes Crit’Air, aucun texte ne rendait son apposition obligatoire.

     

    Certes le conducteur d’un véhicule non autorisé à circuler pouvait déjà faire l’objet d’une verbalisation, mais celui qui prenait le volant d’une voiture pouvant circuler mais n’arborant pas la vignette sur le parebrise ne risquait rien. Bien évidemment, une telle absence pouvait éveiller les soupçons des forces de l’ordre et entraîner un contrôle, mais rien ne pouvait être reproché au conducteur.

    L’attribution d’un certificat ou d’un autre (puisque techniquement on ne parle pas de vignette mais bien de certificat), reposant grandement sur des critères administratif,s il aurait pu s’avérer extrêmement compliqué pour les autorités de repérer les véhicules concernés par l’interdiction de circuler. Un même modèle doté d’une carrosserie strictement identique bénéficie en effet selon son année de commercialisation d’un certificat ou d’un autre.

     

    Dans la pratique la mise en œuvre du dispositif de circulation restreinte par les forces de l’ordre implique donc une adoption massive des vignettes Crit’Air.

    Un oubli désormais réparé

    Publié au Journal officiel le 7 mai 2017, le décret n° 2017-782 du 5 mai 2017 "renforçant les sanctions pour non-respect de l'usage des certificats qualité de l'air et des mesures d'urgence arrêtées en cas d'épisode de pollution atmosphérique" corrige cet oubli. 

     

    L'article R. 411-19 du Code de la route retouché précise désormais  que "le fait, pour tout conducteur, de contrevenir aux mesures de suspension ou de restriction de la circulation mentionnées au présent article, ou de circuler dans le périmètre des restrictions de circulation instaurées sans que le véhicule soit identifié conformément aux dispositions de l'article L. 318-1 et des textes pris pour son application, est puni de l'amende prévue pour les contraventions de la quatrième classe, lorsque le véhicule relève des catégories M2, M3, N2 ou N3 définies à l'article R. 311-1 ; de la troisième classe, lorsque le véhicule relève des catégories M1, N1 ou L."

     

    En clair, le montant de l'amende sera de 68 euros pour les voitures et les deux-roues et de 135 euros pour les camions et les cars.  Cette modification entre vigueur le premier jour du deuxième mois suivant sa publication, pour faire plus simple, le 1er juillet 2017. Pour mémoire, le certificat Crit’Air se commande en ligne  ici : Certificat-air.gouv.fr.


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  • Le président Macron a appris "avec émotion (...) l'acte de vandalisme perpétré contre la tombe du général de Gaulle" et a adressé à sa famille "ses sincères pensées", toujours selon l'Elysée. "Un acte de vandalisme commis sur la tombe du général De Gaulle, c'est un acte contre la France", a tweeté pour sa part le Premier ministre Edouard Philippe, exprimant sa "tristesse" et sa "consternation".

     

    Un individu a donné deux coups de pied sur le socle de la croix

    Ailleurs aussi, dans la classe politique, ce faits divers, a évidemment fait beaucoup réagir. Sur Twitter, Nicolas Sarkozy n'a ainsi pas caché sa colère. 

    Tout comme François Fillon. Lui aussi sur le réseau social.

    Selon les autorités judiciaires locales, un individu a donné deux coups de pied sur le socle de la croix qui surmontait la tombe, provoquant sa chute mais sans occasionner d'autres dommages. La tombe renferme la dépouille du général de Gaulle depuis son décès en 1970 dans le village de Colombey-les-deux-Eglises où il possédait une propriété. Il y repose aux côtés de son épouse Yvonne et de sa fille Anne.


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  • CONSTERNATION- Dans les heures qui ont suivi l'annonce de l'acte d'un individu qui a brisé la croix trônant sur la sépulture de Charles de Gaulle samedi soir, les réactions du monde politique se sont succédé. Emmanuel Macron, Edouard Philippe, Nicolas Sarkozy, François Fillon et beaucoup d'autres n'ont pas caché leur colère.

    Une énorme émotion. L'Elysée a assuré samedi soir que "toutes les actions requises en réponse" à la dégradation de la tombe du général de Gaulle à Colombey-les-deux-Eglises (Haute-Marne) seront "conduites dans les meilleurs délais". "La mémoire et la figure du général de Gaulle sont chères à tous les Français", souligne la présidence qui précise qu'Emmanuel Macron "s'est assuré (...) de la prompte réparation de la sépulture".


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